La prise de notes au centre de l'activité documentaire - commentairesLa prise de notes au centre de l'activité documentaire 2007-04-28T21:18:30Zhttp://www.docpourdocs.fr/spip.php?article289#comment1992007-04-28T21:18:30Z<p>En réponse au renvoi <strong>(1)</strong> de l'auteur de l'article mettre un lien sur savoirscdi<br class="autobr" />
Bernadette Couturier professeure enseignante documentaliste</p>La prise de notes au centre de l'activité documentaire 2006-09-06T05:31:33Zhttp://www.docpourdocs.fr/spip.php?article289#comment762006-09-06T05:31:33Z<p>Je suis d'accord pour dire que la prise de notes est plutôt de l'ordre du concept que du savoir faire car j'ai étudié celle-ci dans mon mémoire professionnel à l'IUFM. J'ai d'abord cru qu'il suffisait d'enseigner la prise de notes comme le font souvent les profs de discipline (français ou Stt) : listes d'abréviations, un modèle plus ou moins imposé. Puis j'ai lu le livre d'Isabelle Bordallo et Jean-Paul Ginestet « Pour une pédagogie du projet » Hachette-Education, 1993 et j'ai imité avec les secondes une séance : après une recherche non dirigée au CDI (avec cependant consignes de travail pour le projet mais rien sur la prise de notes), nous avons observé les différents résulats individuels en aimantant les feuilles sur un tableau puis nous avons procédé à des échanges verbaux en observant les différences et en rapprochant matériellement les productions qui se ressemblaient pour en tirer des conclusions (métacognition). Nous étions toujours dans la méthodologie sauf qu'un modèle ne fut pas imposé mais plusieurs dont l'heuristique que j'ai fait connaître car je l'avais utilisé pour le CAPES et qu'il m'avait enchanté. De là à l'imposer, il y avait un pas, j'avais conclu : « à chacun sa manière de prendre les notes qui peut se perfectionner et dépendre du contexte de l'action ».</p>
<p>J'avais développé l'idée aussi de la prise de notes comme concept "Annie Piolat montre que dans cette activité, le « noteur » effectue de nombreuses opérations qui vont de l'écoute ou de la lecture (notes sur de l'oral ou de l'écrit), actives, à la mise en relation des informations et ensuite à l'organisation par l'écriture de ces informations sur sa feuille. Ainsi importance de la prise de notes dans l'intégration des connaissances car elle est plus qu'une méthode à appliquer. Elle jouerait un rôle dans l'apprentissage de l'abstraction, de la conceptualisation." Françoise Chapron était aussi sollicitée : "c'est mettre en jeu des mécanismes de compréhension, d'intégration des nouvelles informations au « déjà là », et faciliter la constructeur d'un nouveau savoir (...). Notions et concepts sont donc présents tout au long de la démarche de traitement de l'information.</p>
<p>Je me reconnais dans ce que dit Pascal Duplessis et je suis d'accord quand il parle de désir du sujet. Cela me paraît essentiel, c'est le coeur même de l'appropriation de la connaissance qui explique également tous les échecs scolaires à cause entre autres de méthodes imposées et je le dirai aussi pour une méthode heuristique « imposée » même si je l'adore car elle est très visuelle et me convient bien. Là, je réponds au premier message en réponse (quelqu'un qui apprécie aussi l'heuristique).</p>La prise de notes au centre de l'activité documentaire 2006-05-13T15:35:39Zhttp://www.docpourdocs.fr/spip.php?article289#comment442006-05-13T15:35:39Z<p>Réponse à Louiza</p>
<p>Je crois qu'intervenir sur un site internet demande une certaine qualité rédactionnelle et qu'il est souhaitable de vérifier notre orthographe (les outils existent ; alors pourquoi ne pas les utiliser intelligemment ?)</p>
<p>Donc : <strong>à</strong> mieux mémoriser - <strong>à</strong> se retrouver - la masse d'information <i>reçue</i> ou la masse <strong>d'informations reçues</strong> (j'en arrive à ne plus savoir mais j'opterais pour la seconde solution) - la carte heuristique donnerait des résultats <strong>pertinents</strong> (car il ne faut jamais être aussi affirmatif si on a pas étudié de façon plus approfondie les choses).</p>
<p>Vous trouverez <strong>plus d'informations</strong> sur cette fameuse carte à ces adresses : <a href="http://www.petillant.com/" class="spip_url spip_out auto" rel="nofollow external">http://www.petillant.com/</a> ou prendre des notes efficaces : <a href="http://www.petillant.com/rubrique46.html" class="spip_url spip_out auto" rel="nofollow external">http://www.petillant.com/rubrique46.html</a><br class="autobr" />
Freemind est un logiciel libre permettant de créer de telles cartes : <a href="http://www.framasoft.net/article2894.html" class="spip_url spip_out auto" rel="nofollow external">http://www.framasoft.net/article2894.html</a><br class="autobr" />
Dans le « monde » Linux, il existe un outil encore plus puissant (mais plus sobre esthétiquement parlant) , Kdissert figure sur la dernière version de la Kaella 2.2RC2 : <a href="http://kaella.linux-azur.org/" class="spip_url spip_out auto" rel="nofollow external">http://kaella.linux-azur.org/</a></p>
<p>Bernadette COUTURIER</p>La prise de notes au centre de l'activité documentaire 2006-03-15T19:02:07Zhttp://www.docpourdocs.fr/spip.php?article289#comment282006-03-15T19:02:07Z<p>salut</p>
<p>je crois que la prise de note est beaucoup plus personnelle, elle sert a mieu mémoriser une information et a se retrouver devant la masse d'information reçu.</p>
<p>le mind mapping ou la carte heuristique est plus pratique et donne des resultats pertinants je crois que c'est la prise de note du futur.</p>La prise de notes au centre de l'activité documentaire 2005-11-24T08:14:06Zhttp://www.docpourdocs.fr/spip.php?article289#comment152005-11-24T08:14:06Z<p>Réponse à l'article de <strong>Pascal Duplessis</strong> : « De la réédition du même à l'inédit du savoir »</p>
<p> La prise de notes se définit pour moi comme un outil personnel servant une <strong>stratégie de diffusion d'un savoir</strong> (que je n'ai pas) à partir de la myriade d'informations qu'il faut savoir <i>décrypter</i> pour aider tout un chacun à se forger une opinion en <i>connaissance de cause</i> et non pas au gré des modes rédactionnelles de la presse en général mais par rapport à de <i>réelles valeurs</i> qui vont dans le sens d'une <strong>éducation de qualité</strong>, pour une recherche de "<i>durabilité</i>". Et je suis entièrement d'accord avec la « valeur ajoutée » lors de la diffusion d'une information. Personnellement je pense qu'il ne faut pas faire que "prendre" mais savoir <i>traduire</i> pour apporter un plus. Mais la fonction de traducteur demande aussi une certaine "<i>diplomatie</i>" et un travail de lecture à la fois rapide et <strong>approfondie</strong>. En tout cas bravo pour votre titre.<br class="autobr" />
Bernadette COUTURIER</p>
<p>PS : le + voir le nouveau concept de l'information : <a href="http://www.agoravox.fr/" class="spip_url spip_out auto" rel="nofollow external">http://www.agoravox.fr/</a></p>