Apollinaire entre dans le domaine public
Actualité du 4 octobre 2013
L’œuvre d’Apollinaire est "tombée" dans le domaine public, le lundi 30 septembre 2013 c’est-à-dire 94 ans et 272 jours après sa mort. Pour comparaison Proust, mort quatre ans plus tard, est dans le domaine public depuis 1988.
Dans le cadre de cette ouverture au domaine public d’Apollinaire, voici quelques explications des règles (complexes ?) régissant le domaine public :
Guillaume Apollinaire enfin dans le domaine public Libération Culture du 29 septembre 2013 Pourquoi a-t-il fallu attendre près de 95 ans avant que l’œuvre d’Apollinaire entre dans le domaine public.
Zweig, Musil et Apollinaire, vedettes du domaine public en 2013 Sur Slate ;fr "les règles du domaine public sont tellement labyrinthiques qu’il est impossible de dresser facilement une liste des livres qui y tombent en 2013...Voici quand même cinq clés pour savoir ce qu’on peut attendre, ou pas, de 2013 en la matière."
Apollinaire enfin dans le domaine public Emission de France Inter du lundi 30 septembre 2013, à réécouter.
Apollinaire, domaine public et... Romaine Lubrique ! sur Framablog Présentation d’ "une nouvelle initiative soutenue par Framasoft : le projet « Romaine Lubrique », qui comme son nom l’indique plus ou moins, s’intéresse à la valorisation culturelle du domaine public, vaste zone à dépoussiérer où le piratage n’existe plus et devient pleinement partage."
Apollinaire dans le domaine public, 94 ans et 272 jours après sa mort ! Sur Romaine lubrique
’Vienne la nuit sonne l’heure’, Apollinaire et la fin du droit d’auteur Par Calimaq S.I. Lex, le vendredi 04 octobre sur les brèves d’ActuaLitté.
Ses œuvres sur la toile
Guillaume Apollinaire dans le domaine public Où trouver les textes d’Apollinaire gratuitement ou à petit prix sur le web Aldus - depuis 2006 site dédié à l’actualité de la lecture numérique.
Alcools d’Apollinaire au format ePub Ressource publiée sur Romaine lubrique
Cher Apollinaire, bienvenue dans le domaine public Sur BiblObs le 30 septembre 2013 "Et si on relisait « Zone » pour marquer le coup ? Et si on s’écoutait « le Pont Mirabeau » lu par l’auteur ? Prenez votre temps, c’est gratuit"
Cependant, comme le souligne l’article du collectif de veille de savoirsCOM 1
"une question reste posée : celle de l’équilibre bien fragile entre le droit des auteurs (et de leurs héritiers) et ceux d’un public qui, à l’ère d’Internet, souhaite légitimement accéder plus facilement et rapidement à leurs œuvres. "
Partager cette page